lior gutiérrez - there's really no way of winning if in their eyes you'll always be a dumb blonde

lior naît à haven springs dans un cocon d’amour. son père est éducateur sportif et sa mère avocate. dès son plus jeune âge, lior développe une passion pour le sport, et plus particulièrement pour le football américain. cadeau prématuré d’une union empoisonnée, le petit garçon se trouve contraint à régulièrement faire l’aller retour entre le colorado et la californie. il est très proche de sa mère, mais encore plus de son père, qui l’encourage vivement dans sa passion. lior effectuera ses premiers essais dans le cadre des camps d'entraînement de grandes équipes de football américain junior aux états-unis. bon élève, il est hélas forcé de mettre de côté son potentiel intellectuel pour se concentrer à cent pour cent sur le football, au plus grand regret de ses professeurs. il décrochera son diplome, mais ne donnera pas suite à ses études. jusqu’à ses quatorze ans, lior joue pour différents petits clubs aux états-unis, encouragé par sa mère, qui étudie ses premiers contrats et s’assure qu’il ne lâche pas complètement l’école. considéré comme un diamant brut par la presse sportive, il est finalement repéré la veille de ses quinze ans par une équipe universitaire de premier plan. à 18 ans, il se fait remarquer par les recruteurs de la nfl et est sélectionné par les denver broncos lors de la draft, propulsé sur le devant de la scène grâce à une série de blessures parmi les joueurs principaux de l’équipe. son père l'accompagne dans cette épopée et ira même jusqu’à quitter son domicile pour s’installer avec lui à denver. les débuts de l’adolescent dépassent les attentes de ses employeurs, et il signe son premier contrat professionnel le lendemain de ses dix-huit ans, après avoir remporté plusieurs matchs importants avec son équipe. nouveau fan favorite, il est victime d'une grave blessure en deux-mille quatorze qui le force à se retirer des terrains. le public ne le sait pas encore, mais il ne reviendra jamais.

lior souffre beaucoup de sa blessure. une fois guéri, il rechute, et ça dure très longtemps. mais entre-temps, le garçon s’essaye à quelque chose de nouveau : le vicodin, et si elle lui permet de reprendre le travail plus rapidement, elle sera aussi responsable de sa chute. quand la nfl découvre la supercherie, il est condamné à deux années de suspension ferme. résigné à l’idée depuis un moment, il est conforté par la vague de critiques qu’il reçoit sur internet et décide de prendre sa retraite. lior profite de ce break pour se rapprocher de sa demi-sœur, de son beau-père ainsi que de sa mère, dont il a longtemps été séparé. bien qu’il suive une cure de désintoxication, il a du mal à totalement se défaire des stupéfiants. il a rencontré sofia, la mère de malo, son fils, il y a cinq ans, à un rasso. c’est la première fois qu’il a ressenti quelque chose d’aussi fort, et d’aussi sincère pour une femme. ils se sont rapidement mis ensemble, au bout d’un mois. tout comme le football, elle est de ces évidences que le brun n’a jamais su comprendre. pour lui, c’était logique. ils ne faisaient que suivre ce à quoi ils étaient prédestinés. hélas, elle a rendu l’âme dans un violent accident de voiture, à peine quelques mois après la naissance de leur bébé. lior ne s’en est jamais vraiment remis. sa mort a mis l’accentuation sur tous les regrets qu’il traîne depuis qu’il a abandonné le football.

pseudo et/ou prénom : yellamo, juge. pronom : il. âge dix-neuf ans. fuseau horaire : la france. avatar : theo hernandez. Type de rôle : prédéfini/inventé. crédit des images : self. mot de la fin : le craquage instant   if i speak